Florence Ka : de l’altérité et de la paix

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Par Laurence Biava – bscnews.fr/ Déborah, romancière juive retraitée, et Amir, vieux professeur palestinien, se rencontrent à New York lors d’une conférence sur la paix au Proche-Orient. 
Naît alors une profonde amitié entre les deux personnages qui partagent leurs souvenirs, leurs émotions, leurs passions, leurs doutes, leurs errances. Amir confie avec délicatesse à la bienveillante Déborah le parcours de sa petite-fille, Sarah.
 Fragilisée par la guerre du Liban, issue d’une famille rongée par la douleur, la jeune femme vit littéralement le conflit israélo-palestinien dans sa chair. Porteuse d’un message universel chuchoté par les murs millénaires de Jérusalem à deux vieux sages de la Ville Sainte, Sarah détiendrait – elle une clef ouvrant la voie à la paix dans cette région, dans le monde ?

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Voilà toute l’épaisseur de ce grand roman qui s’ouvre à New York, nous conduit à Beyrouth, Tunis, Bagdad, Amman et se termine à Jérusalem, cette ville divine qui enferme en ses remparts le graal, la clef de la paix dans la région… dans le monde. Il retrace la quête d’un sage palestinien nonagénaire, d’une romancière juive, d’une jeune femme chrétienne et de son enfant …

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