Franz Bartelt : l’anacoluthe finale
Par Marc-Emile Baronheid – BSCNEWS.FR / Au moment où les éditeurs intriguent et où les auteures minaudent pour décrocher les lauriers des prix d’automne, un morceau de bravoure homérique vient faire heureuse diversion parmi les conciliabules féroces, les maquignonnages inavouables et les manigances horizontales.
Majésu Monroe n’est pas apparenté à Marylin, ce qui n’est pas franchement un handicap lorsqu’on veut faire carrière de la brocante. Sa spécialité : les pièces rares, improbables, stupéfiantes. Il peut vous vendre la tétine de Richelieu, la cendre du Phénix, l’ancêtre de l’accordéon d’Yvette Horner – breveté sous le nom de piano à Bartelt – et même une chaussette – trouée – d’Arthur …