Hannah Arendt : une relation fusionnelle entre philosophie et cinéma

par
Partagez l'article !

Par Inès Bedrouni – bscnews.fr / La réalisatrice allemande Margarethe Von Trotta s’est appliquée à immerger son équipe artistique dans la vie passée d’Hannah Arendt, dans le but de mettre en scène avec authenticité une partie bien définie de sa vie (1960-1964). Evitant ainsi le format du « biopic » ordinaire, elle fait en sorte d’attirer l’attention du spectateur, à travers la perspective de la philosophe, sur l’une des plus grandes découvertes de sa vie : « La Banalité du mal ».

Partagez l'article !

Ce long métrage a pour qualité première de ne rien modifier des faits réels, à tel point que nous pouvons remarquer une fusion des discours entre la réalité et la fiction. Rendant ainsi le cheminement de pensée d’Hannah Arendt plus accessible, le spectateur comprend l’origine de chaque décision prise par cette femme, déchirée entre courage et amitié. Même si aucune dualité démesurée ne devrait découler de ses deux éléments, il est vrai que l’article , publié en plusieurs fois dans le « New Yorker », a eu l’effet d’une bombe, avec …

Pour lire la suite et accéder en illimité aux articles de , profitez de notre offre de lancement

[Offre d'abonnement]

4,99€*

* Accès à tous les articles de par renouvellement mensuel
Abonnez-vous
Putsch
Résumé de la politique de confidentialité

Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.

Vous avez lu vos

1 articles offerts.

M'abonner à