
Olivia Elkaïm: une réflexion sur la transmission, la féminité et le rapport amoureux
Partagez l'article !Interview d’Olivia Elkaïm. Propos recueillis par Emmanuelle de Boysson – PUTSCH.MEDIA/ Depuis, « Les graffitis de Chambord » (J’ai lu), roman sur trois générations d’hommes, Olivia Elkaïm explore la mémoire et l’oubli. « Les oiseaux noirs de Massada » nous entraînent avec Klara, une chanteuse folle d’un producteur, à Massada, en Israël où […]
Interview d’Olivia Elkaïm. Propos recueillis par Emmanuelle de Boysson – PUTSCH.MEDIA/ Depuis, « Les graffitis de Chambord » (J’ai lu), roman sur trois générations d’hommes, Olivia Elkaïm explore la mémoire et l’oubli. « Les oiseaux noirs de Massada » nous entraînent avec Klara, une chanteuse folle d’un producteur, à Massada, en Israël où sa délicieuse grand-mère lui révèle le secret de sa vie. Réflexion sur la transmission, la féminité, le rapport amoureux, cette histoire parle au cœur.
Quel est le lien qui existe entre « Les graffitis de Chambord » et « Les oiseaux noirs de Massada » ? Pourquoi le thème de la mémoire est-il pour vous si important, le fil conducteur de vos romans ? Il existe un lien fort, visible entre mon premier et mon deuxième roman. Ce n’est pas quelque chose de pensé ou de fabriqué, cela s’est construit au fur à mesure de l’écriture de « Massada ».. Je me rendais compte de la communauté de thématiques entre les deux romans. Je suis traversée par ce thème de la mémoire, de la trace que laissent nos ancêtres. C’est difficile d’en dévoiler la raison, je ne suis pas sûre de la connaître. Peut-être est-ce lié …