La visite d’Olivier Véran à Crépol, ce lundi 27 novembre, à Crépol, a été marquée par des réactions vives et scandalisées de la part des habitants locaux, encore sous le choc de l’assassinat tragique et odieux du jeune Thomas. Un citoyen, particulièrement indigné, a exprimé ses craintes et son mécontentement de manière poignante : « Les prochains ne viendront pas nous attaquer avec des couteaux, mais avec des armes automatiques ». Cette déclaration souligne une inquiétude croissante partagée par de très nombreux Français, notamment des zones rurales.

L’habitant a également critiqué ouvertement l’action du gouvernement, accusant les ministres de favoriser la « France des cités » au détriment de la « France de #Thomas, rurale », où, selon lui, « leurs gosses » sont élevés correctement. Il a ajouté : « Ils ont la haine de la France et des Français », une phrase qui reflète un sentiment de trahison et de désillusionnement envers les représentants de l’État.

Cette intervention tourne en boucle sur les réseaux sociaux et recueille une adhésion générale quant à l’analyse qui est portée par cet habitant de Crépol.

Cette visite d’Olivier Véran, loin de rassurer les habitants de Crépol, semble avoir exacerbé les tensions et les sentiments de division au sein du pays. La mort de Thomas a non seulement été un choc en raison de sa brutalité, mais elle a aussi révélé des fractures plus profondes dans la société française qui aujourd’hui, pourrait déboucher selon certains, sur un début de guerre civile. Plusieurs manifestations et rassemblements spontanés ont lieu en France pour honorer la mémoire de Thomas mais aussi pour exhorter le pouvoir en place à prendre des mesures radicales contre l’ensauvagement de la France qui n’épargne plus aucune région.

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