Karen Kohler : une réflexion qui fait du bien

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Par Emmanuelle de Boysson – Ici, il s’agit d’un journal, de lettres, d’histoires sur les petits drames que vivent les femmes et les hommes, leur force pour s’en sortir, survivre.

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Chagrin d’amour, maladie, mort, exclusion : ils surmontent ces épreuves, s’allègent, se séparent de leurs biens, des leurs et c’est magnifique. Belle écriture sans effets ni affects. Une réflexion qui fait du bien.

« Bêtes féroces, bêtes farouches », de Karen Kôhler (nouvelles traduites de l’allemand) (Actes Sud)

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