« Quand un État réprime ses agriculteurs, il signe sa faillite morale »
Ce vendredi matin, dans la matinale Tocsin, Nicolas Vidal a livré un édito particulièrement virulent consacré à la mobilisation agricole en cours à Bordes-sur-Arize, en Ariège. Une prise de parole sans détour, alors que des centaines d’agriculteurs se dressent contre l’abattage total d’un troupeau décidé par l’État après la détection d’un seul cas de dermatose nodulaire.
Sur le terrain, la tension est extrême. Barrages, tracteurs, braseros, unité paysanne inédite : la vallée est devenue le symbole d’un affrontement direct entre le monde agricole et un pouvoir accusé de sacrifier les exploitations françaises au nom de protocoles sanitaires jugés absurdes et d’une politique de libre-échange assumée. Pour Nicolas Vidal, ce qui se joue dépasse largement le sort d’une ferme ariégeoise : c’est la souveraineté alimentaire du pays et la survie même de l’agriculture française qui sont en cause.
Dans cet édito, le fondateur de Putsch Media dénonce également le silence des chaînes d’information, l’attitude des députés accusés de multiplier les déclarations sans effet, et la stratégie d’un État prompt à envoyer des forces de l’ordre contre des agriculteurs pendant que l’insécurité et le narcotrafic prospèrent ailleurs. Une critique frontale de ce qu’il décrit comme une répression ciblée contre des pères et des fils de France.
La vidéo de cet édito, volontairement assumé comme un cri d’alerte, est à retrouver ci-dessous. Elle s’inscrit dans une volonté claire : briser l’omerta médiatique, soutenir publiquement les agriculteurs mobilisés et appeler les Français à défendre, ensemble, leur indépendance alimentaire.