
Dr Nicole Delépine : « En France, les liens d’intérêt des dirigeants avec big pharma expliquent certainement la multiplication des obligations vaccinales pédiatriques »
Toujours en première ligne pour défendre la santé des tout-petits et la transparence médicale, le Dr Nicole Delépine revient avec force sur l’instauration, en janvier 2025, de vaccins anti-méningocoques obligatoires jugés « autoritaires » et dépourvus de preuves d’efficacité certaines. Entre risques de sélection de souches résistantes, enjeux financiers colossaux de l’industrie pharmaceutique et silences coupables des autorités, elle décortique aussi l’impact des variations HLA sur la réponse vaccinale et dénonce l’omerta entourant les effets indésirables graves chez les nourrissons. Au cœur du débat : la liberté des parents et la nécessaire balance bénéfice-risque, aujourd’hui sacrifiée sur l’autel des intérêts politiques et économiques.
En quoi ce calendrier vaccinal du nourrisson est totalement irraisonnable ?
Ce calendrier rendu obligatoire en janvier 2018 pour tous les enfants nés au-delà de cette date, à l’arrivée d’Emmanuel Macron et de Agnès Buzyn, est complètement aberrant. Son déroulé dès la naissance (y compris chez le prématuré !), alors que le bébé à terme n’a pas fini de développer ses propres défenses immunitaires (pas avant six mois) est un contre- sens médical et le nombre des valences concernées largement trop élevé et certains dangereux à la naissance (hépatite B et son cortège d’autisme, d’augmentation des maladies chroniques (1) avec un DTP (2) beaucoup plus à risque qu’après 18 mois….).
Quels sont les vaccins spécifiques qui ont été ajoutés au calendrier pédiatrique en janvier 2025, et quelles preuves existent pour justifier ou contester leur introduction ?
Des …