Marie-Charlotte Bouttier: « Toutes les victimes sont dans une errance médicale, de mauvais diagnostics et pire, elles sont victimes de violence médicale comme moi »
Marie-Charlotte Bouttier, 35 ans, ancienne préparatrice en pharmacie, a vu sa vie basculer après avoir reçu les injections imposées par l’obligation vaccinale lors de la crise sanitaires. De symptômes inquiétants à une errance médicale glaçante, elle raconte un combat acharné contre l’indifférence des autorités sanitaires et la censure médiatique.
Isolée, méprisée, mais déterminée, elle dénonce l’omerta autour des effets secondaires et milite pour la reconnaissance des victimes. Une voix qui dérange, mais qui refuse de se taire mais qu’il faut avoir le courage d’entendre.
Votre combat semble inlassable et courageux. Quelles ont été les réactions des professionnels de santé et des autorités sanitaires lorsque vous avez signalé vos symptômes et leurs liens supposés avec la vaccination ? Avez-vous rencontré de l’indifférence ou des soutiens ?
En effet, mon combat, notre combat, est inlassable et il se déroule sur plusieurs fronts : médical, judiciaire et administratif. Lorsque je me suis fait vacciner de la deuxième dose Pfizer, j’ai développé quelques heures après des effets indésirables ( maux de tête violents, douleurs cervicales et dorsales importantes, grande fatigue, troubles gastro-intestinaux). Ces effets ont perduré, alors j’ai très vite consulté mon médecin traitant. Celui-ci étant assez âgé et n’ayant aucun retour sur des effets indésirables potentiels, il m’a tout de suite rassuré en m’expliquant qu’il n’avait pas eu de retour à sa connaissance et que je devais sûrement faire un « burn out ». Mon côté «hyperactive » ainsi qu’une trop grande sollicitation physique et mentale étaient la cause de mes symptômes.
À la troisième injection Pfizer, je me suis littéralement écroulée pendant près de deux heures, avec une dizaine de symptômes ( douleurs musculaires, cervicales, jambes, bras, migraine, vue trouble, nausées, faiblesse musculaire, épuisement et …
