Guilhem Méric : « J’étais en parfaite santé avant ma vaccination et j’ai développé les premiers symptômes après la seconde injection. J’en veux au gouvernement d’avoir menti à la population »

Un témoignage glaçant de Guilhem Méric sur les graves effets secondaires du vaccin alors qu’il s’était fait vacciner pour préserver sa santé et en solidarité avec les plus fragiles.

« Auteur de romans – Écologiste – Victime des vaccins Covid » voilà comment se présente l’écrivain Guilhem Méric sur son compte twitter. Car sa vie est devenue un enfer depuis sa vaccination contre le Covid19 alors qu’il vivait une vie tout à fait normale dédiée à son fils et à ses livres. Le long témoignage de Guilhem Méric est glaçant alors sa santé ne cesse de se dégrader. Il dénonce les mensonges politiques, le rôle de Pfizer, le sort réservés aux non-vaccinés et l’omerta totale sur les nombreux Français, frappés de graves effets secondaires. Un livre est en préparation sur le chemin de croix de victimes comme lui, qui ont beaucoup de mal à faire reconnaître son handicap à cause du vaccin. Un entretien incontournable.

Pourquoi ce choix de vous vacciner en mai 2021?
Je vis sous le même toit que mes parents depuis la perte mon emploi en 2017 et ma séparation avec la mère de mon fils. Quand ce virus est arrivé et a déclenché une pandémie mondiale, j’ai été pris d’une peur viscérale. A la fois pour moi – j’ai toujours eu la phobie de m’étouffer et ce virus attaquant les voies respiratoires était ce qui pouvait arriver de pire à mes yeux – mais aussi et surtout pour mes parents, tous les deux septuagénaires, que je voulais à tout prix protéger. D’autant que la probabilité de contamination par les jeunes enfants était très floue : on a entendu tout et son contraire à ce sujet en l’espace de quelques mois et chaque passage de mon fils par la maison familiale était une source de crainte : avait-il été en contact avec un autre enfant contaminé asymptomatique ? Était-il susceptible, au cas échéant, de transmettre le virus et nous mettre tous en danger ? Cette situation a souvent été difficile à vivre à la maison, aggravée par le décompte morbide quotidien que nous assenaient les JT. Je me serais bien passé de les regarder, mais c’était la grand-messe …