Les pontes des soupirs : les éditeurs rapaces et les écrivains mercenaires ?

par
Partagez l'article !

On dit les éditeurs rapaces et les écrivains mercenaires. Belfond et Albin Michel opposent un double démenti à cette légende urbaine.

Quel que soit le moment où Harlan Coben débarque avenue d’Italie, un Coca Cola l’y attend. Au 22 de la rue Huyghens, un casier de Duvel n’attend plus que le bon plaisir de Pieter Aspe. C’est que l’un et l’autre sont des habitués de la maison. Le …

Pour lire la suite et accéder en illimité aux articles de , profitez de notre offre de lancement

[Offre d'abonnement]

4,99€*

* Accès à tous les articles de par renouvellement mensuel
Abonnez-vous
Putsch
Résumé de la politique de confidentialité

Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.

Vous avez lu vos

1 articles offerts.

M'abonner à