«Gender Derby» : et si on parlait autrement de la transidentité?

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La société parle peu de transexualité. Peu ou mal. Souvent avec un angle anxiogène et une touche de pathos. «  Gender Derby  » s’y prend autrement  : cette série-docu, filmée et projetée à la verticale, déconstruit les stéréotypes avec une furieuse joie de vivre et aborde la question du genre, entre deux fêtes et trois matchs de roller derby.

Jasmine est devenue Jasmin. Ou plutôt, Jasmine a toujours été Jasmin. Jasmin et Jasmine à la fois, « il » et « elle » en même temps. Jasmin ne veut pas choisir radicalement et il ne voit pas où est le problème. Le malaise, la limite ou la controverse.  Ce mélange des genres, ça lui semble normal. Naturel. Fluide. Nécessaire. Évident même. Même s’il sait que pour la société, ça ne l’est pas. Une société qui aborde, bien souvent, la transexualité comme une sorte de trouble. De la personnalité, de l’identité. Une sorte de schizophrénie. Dans tous les cas, un poids lourd à porter. Alors que Jasmin va bien, il sait qui il est, il suit son instinct. Son identité double n’en forme qu’une. Pour lui, c’est plutôt …

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