Agnès Riva : un journal de bord du malaise
Son prénom en dit long, déjà. Ema. Avec un seul aime, l’autre ayant été désarçonné par les chevaux de frise de ces émotions confuses qui désolidarisent les moments dérobés d’une première liaison clandestine. Il s’appelle Paul. Leurs activités prud’homales ont favorisé l’un de ces rapprochements à la sauvette dont le récit fait le succès des magazines pour salles …