Carson McCullers : l’hommage des éditions Stock
Par Marc Emile Baronheid – Préfacier du premier roman traduit en français (1947) de la jeune Carson McCullers, Denis de Rougemont avait déclaré à la bénéficiaire : « il n’y a pas d’histoires d’amour dans ce roman », s’attirant cette réplique cinglante de Carson : « Il n’y a que cela ».
Soixante-dix ans plus tard, la même tâche échoit à Véronique Ovaldé. Elle relève que McCullers fut une grande amoureuse, mais que « L’amour ne l’a pas sauvée. Et ne sauvera jamais aucun de ses personnages ». L’occasion est belle pour le lecteur, cet autre chasseur solitaire, de passer un été enviable en compagnie de celle qui aurait eu 100 ans cette année, dont les éditions …