
Jowee Omicil : le BasH! ou le jazz frénétique
Par Nicolas Vidal – Suite à un époustouflant concert donné dans l’amphithéâtre Richelieu de la Sorbonne, pour le Festival Jazz à Saint Germain, Jowee Omicil a littéralement séduit le BSC NEWS et l’assistance.
Nous le recevons aujourd’hui pour qu’il nous parle de son parcours incroyable et de sa philosophie musicale du Bash. Jowee Omicil est déjà un musicien incontournable et passionnant, fait d’amour, de frénésie et de talent. Bash ! Bash ! Bash !
Jowee, pouvez-vous nous raconter en quelques mots votre rencontre avec la musique ?
Ma première rencontre avec la musique, c’était à l’âge de 8 ans à l’école de la Fraternité à Montréal. Le professeur Sylvie Dupont nous apprenait à jouer de la flûte à bec. J’ai arrêté pour ne plus y revenir jusqu’à l’âge de 15 ans avec Maestro Obed Jubuisson.
Quel est l’apport du Gospel dans votre carrière ?
En fait, le gospel est dans mon ADN. Mon père est Pasteur. Alors la musique inspirée a toujours fait partie de mon existence dans le fond.
Vous êtes un surprenant multi-instrumentiste. Qu’est-ce qui a fait que vous maîtrisez si bien …