Jacques Yonnet : 700 chroniques pour un éloge du Paris bistrotier
Par Marc Emile Baronheid – Le Paris bistrotier serait-il entraîné sur la pente fatale de l’engourdissement ? Certains esprits fâcheux prétendent l’avoir lu dans le marc de Bourgogne.
Peut-être manque-t-il, aujourd’hui, un chante aussi enthousiaste et ébouriffant que Jacques Yonnet, injustement résumé à son – certes magnifique – Rue des Maléfices, salué en 1954 comme l’un des plus brillants ouvrages consacrés à Paris. L’autre Yonnet se terre ici, dans le meilleur des 700 chroniques qu’il consacra aux auberges et bistrots de Paris, fil rouge …