Rentrée littéraire : entre cris et chuchotements

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Par Emmanuelle De Boysson – bscnews.fr / Cris et chuchotements, pleurs et grincements de dents. Noir c’est noir. Les romans de cette rentrée littéraire ne font pas rigoler : la guerre, la disparition, les drames intimes… Si vous avez envie d’un doigt de légèreté, rires et chansons, zeste de dérision, ironie, tambour et fanfare, tournez-vous vers des auteurs qui vous mettront du baume au cœur.

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En ces temps de crise, ça fait du bien. Boris Razon revient sur la courte période où il fut paralysé, à 29 ans : un cocktail de drôlerie et d’émotion : « Palladium » (Stock). Yann Moix et son pavé gargantuesque : « Naissance » (Grasset) ; Véronique Ovaldé, la fantaisiste romancière de « La grâce des brigands » (L’Olivier) ; Bruno Tessarech et ses tribulations de ghost writer : « Art nègre » (Buchet/Chastel) et notre Amélie nationale avec sa « Nostalgie heureuse » (Albin Michel).
Parmi les romans les plus sombres, celui de Valentine Goby qui s’appuie sur des récits de rescapées d’Auschwitz pour évoquer un aspect mal connu de la vie concentrationnaire : les accouchements des déportées. Un livre fort et exigeant à l’écriture tenue : « Kinderzimmer » (Actes Sud). Dans « Le cas Eduard Einstein », (Flammarion) Laurent Seksik reprend le thème qui a fait …

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