Et si on arrêtait de râler ?
PAR MÉLINA HOFFMANN –bscnews.fr/ « A force de relever problèmes, oublis, défaillances, imperfections et autres défauts, à leur donner l’importance qu’ils n’ont pas, on leur offre l’occasion d’envahir nos existences. Et c’est la vie elle-même qui s’embrume alors du parfum de la déception et revêt la teinte morose de l’insatisfaction. Finalement, on ne devrait pousser qu’un seul râle dans la vie : le dernier.» Laurent Gounelle
Le train (encore !) en retard, le mauvais temps, le réveil qui sonne toujours trop tôt, le collègue grincheux, le coup de téléphone manqué, la queue à la caisse du supermarché, le voisin trop bruyant, l’ascenseur en panne, le week-end déjà fini, le téléphone qui ne capte pas, les embouteillages, les prix qui n’en finissent pas d’augmenter… Le nombre de raisons de râler est infini ! On peste contre tout et rien, on ronchonne pour un oui ou pour un non, on critique à tout …