Fanny Salmeron : un premier roman prometteur

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Par Mélina Hoffmann – bscnews.fr / « Je ne sais pas si deux solitudes s’annulent, je ne sais pas si elles se consolent. Je ne sais pas si au contraire elles ne forment pas un vide encore plus grand. J’espère que non. »
Il y a Hannah, la fille aux yeux verts qui promène son chagrin dans les rues de Paris. Sur les murs et les bancs de la capitale, elle grave inlassablement cette inscription : « Il y a si peu d’endroits confortables ». Parce que les yeux de celle qu’elle aimait étaient le seul endroit où elle se sentait bien. Des yeux qui se sont détournés d’elle. Un cœur laissé à l’abandon. « Pendant que je me consume, Paris se remplit du manque de toi. »

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Et puis il y a Joss, le garçon aux cheveux bleus, venu à Paris pour peindre et oublier son passé. « Je suis venu chercher l’oubli, j’ai trouvé de la pluie. (…) La vérité c’est qu’on est imperméable à que dalle. Surtout pas au manque. »
Leurs voix s’entremêlent avant que leurs solitudes ne se croisent et s’unissent pour tenter de se réchauffer le cœur …

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