2012: Sous l’égide des Muses

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Par bscnews.fr/ Puisque l’actualité politique, économique, étrangère etc. s’auréole d’un pessimisme ambiant et de questionnements préoccupants, puisque 2012 est une année de grands enjeux puisqu’elle accompagnera deux élections importantes pour notre avenir, donner un peu de légèreté et de charme à ce magazine de janvier nous semblait indispensable et…oui en quelque sorte salvateur.

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2012 est une année que l’on vous souhaite sous l’égide des Muses; une année inspirée où l’on vous encourage à cultiver vos passions. Un numéro que l’on a placé sous le signe des femmes et de la féminité. Pour ce faire, des invitées talentueuses: Daphné, Marquise de Venise dans son dernier album; Lori Earley, illustratrice dont chaque visage peint est un auto-portrait sensible; Belinda Cannone, auteure de La chair de temps; Ndidi’O à la voix jazz suave; Lilidoll et ses poupées étranges,  Patty Hannock et Stéphanie Marc, comédiennes jusqu’au bout des ongles; la jeune Myriam Thibault, auteur d’Orgueil et Désir…et tant d’autres écrivaines, chanteuses, etc. que nous vous convions à rencontrer. Et puis, parce que féminité ne veut pas dire féminisme, les hommes sont présents aussi: l’académicien Michel Déon, l’éditeur Jean-Philippe Rossignol, le metteur en scène Frédéric Borie; Chris Ayers et son Daily Zoo; Erwan Larher, auteur chez Michalon….

Invoquer les Muses, c’est donner aux arts et la culture toute l’importance qu’ils méritent. En février dernier, sous l’égide de la virtuose Lostfish, nous avions lancé le slogan utopique  » la culture au pouvoir ». Nous suivons cette ligne avec force et conviction. L’art est un révélateur puissant: il met en valeur nos singularités et nos fragilités. Plus que jamais dans une société consumériste et dévorante où règnent en maître l’arrogance et l’argent, il faut prendre conscience des êtres fragiles que nous sommes, coeurs tremblants dans l’immensité du monde et à la merci du destin, et avoir la conviction que notre fragilité, « nous, pauvres humains » , peut être une force: elle peut stimuler notre imagination et pousser notre créativité à inventer, encore et encore, pour survivre et tout simplement pour exister.

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