Tim Burton peint le pays des merveilles…
Et cette Alice au Pays des Merveilles , en effet, ne manque pas de charme. Certes, son producteur Walt Disney, a certainement réfréné les folies burtoniennes, cadré un peu les dérives psychotropes que le roman de Lewis Carroll autorisait. Il ne reste plus que La Chenille et son narguilé, encadrée de champignons phosphorescents ,qui perdure et enfume la jeune Alice. Si l’on regrette de n’avoir pas pu voir la version non censurée d’une Alice au pays des délires à l’opium, on se laisse entraîner dans cette …