À l’abri au Liban, Carlos Ghosn ne craint ni Interpol, ni les juges étrangers

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Carlos Ghosn estime rétablir la vérité sur son arrestation en 2018 au Japon et sur son expulsion du Groupe Renault lors de sa conférence de presse donnée depuis le Liban, où il s’est enfui.

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C’est en substance ce qu’il a affirmé lors de la conférence de presse tenue le 8 janvier à Beyrouth où il s’est réfugié après avoir été exfiltré de façon rocambolesque, sans pour l’instant connaître les soutiens dont il a bénéficié.

L’ex-numéro un de Renault a déclaré de ne pas avoir voulu fuir la justice, mais « l’injustice et la persécution » parce que «j’étais persécuté qu’au Japon, j’ai donc décidé de prendre le risque de partir ». Au sujet des poursuites judiciaires lancées contre lui par les magistrats de plusieurs pays, Carlos Ghosn a dit de ne pas être préoccupé. « Je n’ai pas d’assurance de ne pas être extradé de …

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